J’ai remarqué que ce qu’on planifie pour beaucoup de nos rides n’est pas ce qu’on arrive à faire. Et, ce que j’ai appris, à travers les années, est qu’une ride de moto peut rendre les circonstances de la vie les plus difficiles très agréables. C’est dans cet esprit que j’ai pu voir le bon côté des choses quand, me voilà au début de juillet 2019, je me suis retrouvé SANS BOULOT! C’était une semaine avant de partir en vacances dans les Highlands d’Ontario. Notre plan était de visiter la Grotte au parc national de la Péninsule-Bruce, dans la baie Georgienne. Avec ma « liberté » fraîchement trouvée, on a décidé de rallonger le voyage et de se rendre sur l’île Manitoulin, la plus grande île au monde en eau douce. Ce fut, en fait, pendant le voyage que j’ai appris que le chemin que j’avais tracé était un circuit touristique – le circuit de la baie Georgienne.
Il y a quelque chose de magique qui se passe quand on met notre fidèle partenaire de fer en première vitesse et que l’on part. La seule et unique pensée que j’ai est… rien! Simplement rien! RIEN! Je suis libre! C’est ainsi que l’inquiétude de perdre mon travail restait chez moi pendant que, moi, je partais pour une autre aventure.
Notre première journée, une dizaine de minutes après avoir quitté la 17 pour la 60, on a découvert le Crown & Kilt Pub à Renfrew. Assis dessous un arbre majestueux sur leur terrasse, sur la recommandation de notre serveuse, on a commandé un schnitzel, qui est la spécialité de la place. Je n’hésite pas une seconde à vous recommander de faire la même chose si vous passez par là. Jamais je n’avais gouté un schnitzel si savoureux! Pour ceux qui aimerait arrêter dans ce coin pour la nuit, il y a aussi un petit motel juste à côté.
Vous savez comment la moto brille partout en partant de la maison? Et comment il semble y avoir une loi injuste non écrite qui stipule que la première journée, elle ne brillerait plus? Bien sûr, la première journée, on a eu juste assez de pluie pour ternir la brillance. Je suis certaine que le soleil se moquait de nous quand il est revenu!
Notre arrêt pour la nuit s’est fait chez Algonquin East Gate Motel à Whitney. C’est un motel très simple, pas cher, parfaitement placé proche d’un bon restaurant et d’une belle rivière dans laquelle on pouvait se rafraîchir et regarder le résident héron – en plus d’être à deux pas de l’entrée du parc Algonquin!
À cinq minutes de notre motel se trouve le Mad Musher’s, un restaurant du coin au bord de la rivière Madawaska. C’est quoi les vacances sans faire des découvertes? Ici, on a pu déguster pour la première fois avocat frit et bière Madawaska – deux belles découvertes!
Notre deuxième journée, on s’est levés sous un ciel gris. On annonçait 80 % de risque de pluie. Jean-Yves et moi avons un « slogan » en vacances : « On est en vacances, il va faire beau! » Faut mettre toutes les chances sur notre bord quand même – pensée positive! Donc, on s’est arrêtés et on en a profité pour se balader sur un des sentiers du parc Algonquin. À part les maringouins qui nous entouraient, c’était bien de faire un peu d’exercice sur un si beau sentier et Jack en a aussi profité pleinement.
En reprenant la route, le tonnerre et les éclairs semblaient danser tout autour de nous. Malgré cela, tout ce qu’on a eu, c’étaient des routes mouillées… pas de pluie sur nous! Les nuages ont fait place au beau ciel bleu, pour rester fidèle à notre slogan.
Il y a eu un temps où on roulait du lever au coucher du soleil, espérant trouver un motel. C’était merveilleux. (Même si on a déjà fait du camping dans une aire de repos parce qu’il n’y avait pas hôtels! LOL) On était dans notre élément. On vivait le moment. Je suis heureuse d’avoir voyagé comme ça quand j’étais plus jeune.
Encore jeune, bien sûr, et voyageant maintenant avec Jack, on aime rouler entre 300-500 km par jour. Et j’aime savoir que notre place est réservée. Trouver un lieu d’hébergement qui accepte les chiens à la dernière minute est un fardeau qu’on a appris à éviter! Puis, ça nous laisse amplement de temps pour profiter au maximum des plaisirs qu’on pourrait avoir la chance de rencontrer sur notre chemin, peu importe l’heure.
Après avoir quitté le parc, on en a profité pleinement. Roulant sur la 60, on a passé la pancarte pour la route 35. Sur un coup de tête, j’ai arrêté et j’ai fait demi-tour pour aucune raison autre que la route m’appelait. Quand Jean-Yves et Jack sont venus me rejoindre, j’ai demandé : ça te tente de prendre cette route-là?
C’était une bonne décision. Nous avons trouvé le Pizza on Earth à Dorset. C’est une petite place familiale qui prépare une pizza au four qui laisse vos papilles gustatives en vouloir encore ou simplement dit – qui laissait l’eau à la bouche! Ils font aussi des bagels style montréalais et du café frais. Il n’y a pas de salle à manger, mais des tables à piquenique dehors d’où on peut voir notre pizza sortir du four au bois. Quel beau détour!
Les bedaines remplies, on retournait sur la route. Pendant les heures suivantes, je me laissais séduire par des routes remarquables qui nous guidaient vers notre hôtel à Windermere, The ‘’New’’ Baldwin’s Resort. En arrivant de bonne heure, on a pu profiter d’une petite saucette dans le lac Rosseau, en face de l’hôtel.
Quand vous trouvez un hôtel comme celui-ci, les petits « défis » de voyager à moto avec votre chien sont récompensés. Chez eux, les chiens sont connus comme faisant partie de la famille. Ainsi, nous profitons d’un bon souper en compagnie de Jack… dans la salle à manger!
Notre troisième journée, on s’est fait réveiller par le bavardage des corneilles au sommet des vieux grands pins sur le terrain de l’hôtel. Normalement, c’est un son qui m’énerve, surtout à l’aube! Mais ce matin-là, j’ai trouvé que leur « cacouillage » ressemblait plus à une chanson. Je n’aurais jamais cru qu’un jour j’aurais trouvé ça beau!
En se promenant sur les routes scéniques aux alentours de Muskoka Lakes, on a été chanceux d’être tombés sur le Big Chute Marine Railway. C’est une écluse située sur la route navigable de Trent-Severn, qui relie le lac Ontario au lac Huron. Pas juste une écluse ordinaire! Les bateaux y sont transportés sur un chariot qui sort de l’eau sur des rails. Originalement bâtie en 1917 pour faire bifurquer les chutes, elle est unique en Amérique du Nord. C’est une image bizarre – voir les bateaux à l’air comme ça!
En route vers l’hôtel, nous sommes passés dans le petit village de Bala, fondé en 1868, où j’ai vu au moins trois églises! Très impressionnant quand on pense que sa population compte seulement 370 habitants! Peut-être qu’ils sont surtout là pour offrir des services à la population de 4 000-15 000 personnes que compte l’endroit pendant la période estivale! Près de Bala, il est aussi possible de visiter une ferme de canneberges, appelée Johnston’s Cranberry Marsh.
Cette journée-là, on a parcouru pas moins de onze routes différentes, toutes avec leurs propres charmes et points d’intérêt. De retour à l’hôtel, on a passé une soirée autour de feu avec d’autres passionnés de moto. Quelle belle façon de finir la journée!
La route 69 en direction de Sudbury est une énigme – ennuyante et incroyable en même temps. La route, elle-même, est droite, large et plate. En virant la tête vers la droite ou la gauche, on voyait des rivières, des lacs et des marais si pittoresques que ça me donnait le goût d’arrêter encore et encore pour prendre des photos.
Le soleil nous a accompagnés PRESQUE toute la journée. Pour quelques minutes, tout alentour de nous, les nuages sont devenus incroyablement NOIRS et menaçants. On espérait passer inaperçus, mais hélas… On a été extrêmement chanceux, car on a vraiment juste goûté quelques secondes de leur rage. Whew! Il se peut que notre arrêt à Norse Brewery, à Nobel, nous ait sauvés. N’importe quelle excuse pour chercher de la bière – LOL!
Les ponts allant à l’île Manitoulin donnent une vue surréelle. Les couleurs de la baie Georgienne commençaient déjà à se révéler, haussées peut-être par le temps bizarre.
Arrivés assez tard au Lake Huron Motel, à South Baymouth, on s’est installés, puis nous sommes allés prendre une bouchée et une bonne bière froide au petit bar-restaurant à côté, The Pier. C’était la soirée karaoke… il y en avait avec du talent, d’autres non… LOL.
L’île Manitoulin est la place pour se détendre. Et on a fait juste ça! On prenait notre temps le matin, pas pressés, pas de stress, pas d’horaire – juste l’exploration de l’île à notre rythme sur l’agenda.
En circulant sur les routes de l’île, on a aperçu de grands oiseaux qui ressemblaient à des hérons dans un champ. On a pris des photos, puis rendus chez nous, on a fait des recherches pour identifier l’espèce. Et la voilà, c’étaient des grues du Canada (Sandhill Cranes).
Notre premier arrêt après trop de kilomètres parcourus sur des routes en construction fut à Bridal Veil Falls. Une place pour s’amuser, pique-niquer, se balader sur le sentier au bord de la rivière ou se baigner dans la piscine d’eau sous les chutes. Un coup que j’ai vu le monde se baigner sous ces belles chutes, il a fallu que je fasse pareil. Pas question que je manque cette chance!
À Gore Bay, on a fait une belle rencontre avec un grand-père et sa petite-fille, qui nous ont raconté de belles histoires de la place. Cette rencontre ajoutée à la vue panoramique de la baie Gore et de la baie Georgienne nous a réchauffé le cœur. Un moment de la vie à chérir.
Dernier arrêt avant de retourner au motel, Providence Bay, une des plages les plus populaires sur l’île avec son eau turquoise. Mais il était tard dans l’après-midi et on n’y est pas restés assez longtemps pour en profiter, ni pour profiter du musée qui s’y trouvait.
De retour à notre hôtel, on s’est amusés autour de la piscine réservée on dirait juste pour nous. Ou peut-être qu’on était les seuls assez fous pour se baigner dans une eau aussi froide. Peu importe, c’était parfait. On a même pu voir le magnifique traversier Chi-Cheemaun entrer dans le port.
Lors de notre sixième journée, il nous semblait qu’on avait juste commencé nos vacances! Le matin, on embarquait vers 9 h sur le Chi-Cheemaun, qui nous amenait de South Baymouth à Tobermory sur la fameuse péninsule Bruce.
Tobermory est un véritable village touristique, plein de restaurants et de boutiques. Les plaques historiques sur la promenade dans le village vous donnent un vrai pot-pourri d’informations. C’est à partir d’ici que vous pouvez acheter un tour de bateau très populaire qui vous amène à Flowerpot Island ou un tour des naufrages. Imaginez, les amateurs de plongée sous-marine et de plongée libre peuvent trouver plus de 20 épaves de navire à explorer à partir de Tobermory.
On a choisi notre restaurant pour notre dîner en raison de la musique de Bob Marley qui chouchoutait nos oreilles et l’atmosphère du restaurant même. Et on ne s’est pas trompés! Le Shipwreck Lee’s est connu pour son fish’n’chips. Alors, on en a commandé avec deux nouvelles boissons du coin à essayer. Tout était parfait – la musique, l’ambiance, la bouffe, le service. Jack a même été servi avec un bol d’eau accompagné d’une tranche de lime. LOL!
Les parcs provinciaux et nationaux ne manquent pas sur la péninsule Bruce. En route vers notre motel, on visait Halfway Log Dump et Lac Emmett. Au restaurant, un résident local nous avisait de prendre Emmett Lake Road et d’aller à gauche arrivé à l’Y. La route à suivre est en garnotte – encore de la garnotte – hihi. Au Halfway Log Dump sur la Baie Georgienne, on trouvait une plage de galets de roches plates. L’eau là est si clair et hypnotisant que malgré l’intense froid, il a fallu qu’on s’y plonge! Retournant sur nos pas, on se dirigeait au droit de l’Y pour visiter le lac Emmett. C’est un beau petit lac de l’eau vert entouré par la forêt – la place idéal pour Jack de courir et s’amuser.
Quinze petites minutes sur la route 6, la route principale de la péninsule, et on était rendus au Bear Tracks Inn. Ce motel est situé à proximité de tout. Une petite demi-heure dans toutes les directions et vous trouvez de quoi pour tous les goûts. Le restaurant sur place servait des repas faits par Maman!
C’était autour de la visite de la Grotte dans le parc national de la Péninsule-Bruce, que nous avions planifié nos vacances. C’était LA journée qu’on attendait. Étant donné que notre réservation était pour midi à la Grotte, on avait quelques heures devant nous pour faire ce qu’on aime faire – prendre la route la plus indirecte possible pour arriver à notre destination. Après un bon déjeuner chez Bear Tracks, on est allés visiter le village, le phare et la marina de Lion’s Head. On a pris le chemin au bord de la baie et ensuite, encore les chemins de garnotte pour se rendre à la Grotte. Les petits chemins perdus… notre plaisir!
Au début de notre visite, nous avons appris qu’il y avait des serpents à sonnettes au parc, en fait dans cette région de l’Ontario. C’est strictement interdit de déranger le serpent à sonnettes Massasauga. O.K.! pas de misère avec ça, pour autant qu’il fait pareil!
Dès que vous mettez le pied sur le sentier pédestre, la magie de l’endroit vous embrasse. Les arbres, les oiseaux, le lac Huron avec toute sa palette de couleurs! On a pris le Georgian Bay Trail, le sentier le plus facile. Sur ce sentier, il y a trois points de vue très différents sur la baie Georgienne, mais tous aussi beaux les uns que les autres. C’était merveilleux combien de teintes de bleu et de vert on pouvait voir d’un point à l’autre.
Rendus à ce qui semblait être la fin du sentier, on ne voyait rien qui ressemblait à la Grotte. En fait, on était juste arrivés à Indian Head Cove – plus la partie plage. Pour se rendre à la Grotte, il faut continuer sur un sentier un peu plus difficile. C’est une vue à couper le souffle! Comme si vous étiez dans un autre pays en regardant l’eau d’un bleu des Caraïbes. WOW!
Prochain défi – 40 pieds de falaise à descendre pour se rendre à la Grotte. Il y avait des places où j’étais assise pour passer parce que les rebords de la falaise n’étaient vraiment pas larges. Cependant, Jack les naviguait comme une chèvre de montagne!
Rendus dans la Grotte, en voyant tout le monde qui s’amusait tellement à sauter dans cet endroit magique, c’était impossible de ne pas participer. Mais où se changer? Bien, on a fait un « rideau » avec une serviette et on s’est excusés auprès du monde. Par contre, les excuses n’étaient nullement nécessaires. Ils nous ont encouragés avec enthousiasme. Ils voulaient qu’on fasse la pleine expérience de cette visite à la Grotte et croyez-moi, on l’a faite!!
On s’est arrêtés à Indian Head Cove sur les pas de retour afin de savourer toute la beauté de cet endroit incroyable. Eh bien, oui, aussi pour faire des folies, car c’est non seulement une plage mais également un endroit pour les personnes plus courageuses et aventureuses, avec des falaises où on peut faire un saut de 33 à 65 pieds de hauteur. Est-ce qu’on l’a fait? Bien sûr! Faut dire que c’était presque plus amusant de voir Jean-Yves se convaincre de sauter que de le faire! HAHA!
Après une telle aventure, on a repris le sentier afin de retourner aux motos, déjà notre bloc de temps arrivé vers sa fin. Il faut bien que je vous mentionne que les réservations sont obligatoires si vous voulez stationner ici – pour les blocs de quatre heures. Ça ne semble pas beaucoup, mais on a bien réussi à en profiter. Il y a d’autres options pour le monde qui aime le hiking – vous pouvez stationner à Cyprus Lake et marcher sur les sentiers pour y arriver.
Parmi un mélange d’arbres de bois dur et de bois mou, cèdres blancs, épinettes, pins, bouleaux, chênes et autres attiraient une grande variété d’oiseaux et de petits mammifères dans un contraste bienvenu. C’était le moment de se détendre et de se laisser enchanter par le décor et par les chants ensorcelant de oiseaux.
On bifurquait de nouveau vers le lac Huron et on était captivés une fois de plus par les couleurs caméléon de ce plan d’eau, avec sa baie Georgienne, tellement calme et paisible. Je peux comprendre pourquoi les artistes peuvent être si inspirés par ce paysage.
Merci à nos enfants de nous avoir parlé de cet endroit de rêve!!!
À la suggestion de Susan, notre hôtesse à Bear Tracks Inn, on a pris la route 9. Une belle route donnant des vues de campagnes, de fermes, et des aperçus du lac et des falaises. On a vu par hasard une pancarte indiquant des cavernes – Greig’s Caves. On a pris un petit chemin féérique pour y aller, seulement pour y apprendre que les chiens n’étaient pas acceptés – même pas dans le stationnement! Donc, demi-tour, et on a pris notre temps pour apprécier ce qui semblait être une forêt enchantée sur ce petit chemin isolé. Honnêtement, ça valait la peine juste pour ça.
En continuant, j’ai vu la pancarte pour Wiarton. Oh cool! La ville de Wiarton Willie, la marmotte canadienne qui prédit si on va avoir un printemps tôt ou tard. Si proche, faut faire un tour là – juste parce que!… Hihi!
On a trouvé un restaurant avec une terrasse derrière un hôtel historique ouvert en 1883, le Pacific Hotel. Le souper était délicieux. J’explorais l’hôtel, qui avait des salles partout, et j’imaginais comment ça devait avoir été un vrai centre d’action il y a plus de 100 ans!
Trouvez-vous que de prendre le temps d’arrêter nous laisse mieux enregistrer l’image dans notre cerveau, afin que le souvenir dure plus longtemps? Bien, de retour sur la route 6 direction nord, avant d’arriver à notre motel, il a fallu que j’arrête encore – bien oui, pour une autre photo. Élevée à la campagne, j’ai déjà vu des champs de foin, mais ayoye!… là, j’ai vu des bottes de foin à perte de vue! C’était très impressionnant et très beau à voir.
On a continué pour le retour chez nous avec une belle ride mercredi matin au bord de la baie Georgienne, jusqu’à Wasaga Beach où on s’est arrêtés pour dîner. Bien sûr les couleurs de cette baie n’en finissaient plus de nous émerveiller.
La reste de nos vacances nous a ramenés à la maison par les routes tranquilles et bien entretenues de l’Ontario. Tranquilles, mais attention! Bien que la limite de vitesse était de 80 km, on était poussés par le trafic local. Ainsi, 100 km semblait est la traduction de 80 km – LOL! On a passé les deux dernières soirées de nos vacances à Bracebridge et à Perth. Deux villes historiques qui valent la peine d’être visitées – très beau et plein de choses à voir. Nos vacances arrivaient ainsi à leur fin.
En fin de compte, j’étais « contente » d’avoir perdu mon job, car ça nous a permis de visiter encore plus de très belles places dont regorge notre province voisine! En partageant notre histoire, j’espère qu’on a réussi à piquer votre curiosité, à vous donner le goût de visiter ces endroits où on a eu tant de plaisir!
Bonne route, et n’oubliez pas de SAUTER! 😉
Cheryl, Jean-Yves et Jack